Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 138 à 138 sur 478

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Salammbô (2e édition) / par Gustave Flaubert

Auteur : Flaubert, Gustave (1821-1880). Auteur du texte

Éditeur : Michel Lévy frères (Paris)

Date d'édition : 1863

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12258451r

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30440399m

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (475 p.) ; in-8

Format : Nombre total de vues : 478

Description : [Salammbô (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1177376

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Y2-35863

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 23/02/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 79%.


cluait la nepubuque, faisaient chaque fois admettre des clauses pour les en distinguer. Cependant, elles respectaient cette sœur plus forte, qui les protégeait, et elles ne croyaient point qu'un amas de Barbares fût capable de ta vaincre; ils seraient au contraire extermines. EUes désiraient rester neutres et vivre tranquilles.

Mais leur position les rendait indispensables. Ut:que, an fond d'un golfe, était commode pour amener dans Carthnge les secours du dehors. Si U tique seule était prise, Hippo-Xaryte, à six heures plus loin sur la cote, la remplacerait, et la métropole, ainsi ravitaillée, se trouverait inexpugnable.

Spendius voulait qu'on cntrep)!t le siège immédiatement. j\arr'!ïa\'as s'y opposa. il faitait d'abord se porter sur la frontière. C'était l'opinion des vétérans, celle de Madio lul-mcme, et il fut dcc'tuc que Spcndius Irait attaquef Utique, Matho nippo-Z:Lryte; le troisième corj~s d'armée, s'appuyant a Tunis, occuperait ]a plaine de Carthage; Aud);u'itc s'en chargea. Quant à Narr'tïa~as, il devait retourner dans son royaume pour y prendre des elcniiants, et avec sa, cavalerie battre les routes.

Les femmes crièrent bien fort a cette décision; elles convoitaient les bijoux des dames puniques. Les Libyens aussi réclamèrent. On les avait nppdcs contre Cartbage, et voilà qu'on s'en a.Ih.it! Les soldats presque seuls partirent. Matho commandait ses compagnons avec les Ibericus, les Lusitaniens, les