comme étant le nom hiéroglyphique du dieu Phtha, aussi bien que la charrue ou le hoyau.
Pour moi, reconnaissant de mon côté cette même i synonymie, je lis sans balancer le groupe formé de la charrue et des deux feuilles ou du piédestal et des deux j, fiuilks, -«-24 mai ou -w.es «/«; car le piédestal exprime :| en effet la consonne M dans les cartouches de Domi1 tien (i), et par-tout les deux plumes équivalent aux I diphthongues &s et es des noms propres grecs: le | groupe qui représente hicroglyphiquement l'adjectif | itycL7r>itt.e<i<>4, chéri, est donc phonétique et se lit sans I difficulté -WK, -m.es, as-B-x; ce qui donne exactement les mots coptes bien connus juw ou jues, qui signiI lient en effet cLyt-mlv <pi\m, aimer, chérir; les groupes | hiéroglyphiques n.cs 352 et 353 sont donc aussi entièrement phonétiques, se lisent itt^-vei, tit^ju&s, ?j t^T^JUiEi, cJjt^jw.s.ï Ptahméi ou Ptahmai Phtahmei i on P 'h ta limai et signifient chéri de Phtha, aimé dé i Phiha,nyd.7mf£Vos vin> tou <t>âçt-.
1 Les diverses manières d'écrire ce titre, rassemblées sous les 11. ci 3 5 z et 3 5 3 ne permettent pas non plus de 1 douter que les Égyptiens n'aient écrit IIts-m.. Ptakm, en abréviation de itt^-W-M Ptahmai.
| La lecture certaine de ce groupe hiéroglyphique ? a eu pour mes recherches des résultats inappréciables,' en ce que j'ai pu reconnaître alors dans les légendes i des Pharaons, des Lagides et des empereurs romains, (1) Suprà, chap. II, Lettre à M. D acier pag. 87 planche V, "M et et 67.