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Titre : Le Mahā-Bhārata : poème épique. Septième volume, [Bhīshma-Parva, suite] / de Krishna-Dwaipayana,... ; traduit du sanscrit en français par Hippolyte Fauche,..

Éditeur : F. Klincksieck (Paris)

Éditeur : A. Durand et Pedone-Lauriel (Londres)

Éditeur : Williams et Norgate

Date d'édition : 1867

Contributeur : Vyāsa. Auteur présumé du texte

Contributeur : Fauche, Hippolyte (1797-1869). Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34324135r

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12009426d

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35291344z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (VIII-590 p.) ; 25 cm

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Description : [Mahābhārata (français). 1863-]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1163458

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 4-Z-7506 (7)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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» Si, tel que la tortue retire ses membres dans sa carapace, il a retiré entièrement ses organes des choses, qui affectent les sens, la sagesse de cet homme est solidement affermie. 936.

» Les objets des sens cessent leur influence devant le mortel voué au jeûne ainsi les affections de l'âme se retirent à la vue d'un homme exempt d'affections. 937. » Il arrive que les sens impétueux, fils de Kounti, entratnent de force l'âme de l'homme instruit, quelque dompté qu'il soit. 938.

» Qu'après les avoir tous comprimés, il demeure assis, la pensée attentivement fixée sur moi; car solidement affermie est la sagesse de l'homme, qui a réduit en sa puissance les organes des sens. 939.

» La pensée de l'homme sur les objets des sens enfante le penchant, celui-ci engendre l'amour et de l'amour naît la colère. 940.

» La folie vient de la colère, de la folie procède le trouble de la mémoire, qui donne la naissance à la perte de l'intelligence, et, la raison perdue, l'homme périt. » Le mortel à l'esprit docile, qui marche aux objets sensibles, avec des sens obéissants à son âme et séparés de l'amour et de la haine, parvient à la sérénité. 941 942. » L'abandon de ses douleurs naît au sein de la sérénité, et, quand son âme est sereine, la sagesse bientôt se présente à lui de tous les côtés. 943.

» Il n'est pas de science pour l'homme sans attention il n'est pas de méditation pour quiconque est privé d'attention il n'est pas de calme pour celui, qui ne médite pas d'où pourrait venir le plaisir au mortel, qui ne jouit pas du calme? 944.