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Titre : Le Mahā-Bhārata : poème épique. Septième volume, [Bhīshma-Parva, suite] / de Krishna-Dwaipayana,... ; traduit du sanscrit en français par Hippolyte Fauche,..

Éditeur : F. Klincksieck (Paris)

Éditeur : A. Durand et Pedone-Lauriel (Londres)

Éditeur : Williams et Norgate

Date d'édition : 1867

Contributeur : Vyāsa. Auteur présumé du texte

Contributeur : Fauche, Hippolyte (1797-1869). Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34324135r

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12009426d

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35291344z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (VIII-590 p.) ; 25 cm

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Description : [Mahābhārata (français). 1863-]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1163458

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 4-Z-7506 (7)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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« Le mortel, qui s'est muni de sagesse, se débarrasse de ces deux choses les bonnes et les mauvaises œuvres. Livre donc un combat pour arriver à l'yoga. L'yoga est la félicité des œuvres. 928.

» Les hommes d'intelligence unis à la sagesse, ayant abandonné le fruit, qui naît des œuvres, affranchis des liens de la naissance, passent dans ce monde, où règne à jamais la santé. 929.

» Quand ta raison aura traversé les régions ténébreuses de l'erreur, tu parviendras alors au mépris de toute science déjà connue ou qui doit t'être enseignée. 'j Alors que, détournée de la science, ton âme se tiendra, immobile et sans bouger, dans la contemplation, tu arriveras dans l'absorption en l'Être absolu. » 930 -931.

« Quel est, répondit Arjouna, -le langage d'un homme voué à la méditation et de qui la science est immmuable, Kéçava ? Que dit un homme à la raison ferme? Comment se tient-il assis ? Comment rnarche-t-il ? » 932. « Lorsqu'il a banni tous les désirs, qui peuvent entrer dans son cœur, repartit le bienheureux Bhagavat, et qu'il trouve de lui-même, fils de Prithâ, son plaisir en lui-même, il est appelé alors un sage à la science immuable. 933. » Le solitaire, de qui l'esprit n'est pas troublé dans les douleurs, qui a chassé le désir des plaisirs, qui est sans colère, sans crainte, sans amour, est appelé une âme forte. 93i.

» Celui, qui n'a pas dispersé de tous les côtés ses affections, qui, ayant obtenu le bonheur et le malheur, ne s'est pas réjoui de l'un, ni irrité contre l'autre, la sagesse de cet homme est solidement affermie. 935.