d'un médecin* maîtres de la terre il faut que ces flèches me consument tout entier. Il 5.748.
A ce langage du héros, ton fils Douryodhana de congédier ces médecins,, après qu'il les eut honorés, suivant qu'ils en étaient dignes. 5.7A9.
Les souverains des différentes contrées furent saisis d'admiration à, la, vue de cette*, sublime fermeté de Bhîshtna dans le devoir, du héros, à la splendeur infinie. Quand ils eurent donné cet oreiller à ton père, tous les monarques de compagnie, les Pândouides et les fameux héros Kourouides s'approchèrent du magnanime, étendu sur sa couche brillante, s'inclinèrent devant cet homme au grand cœur et t'honorèrent trois fois, d'un pradakshina. 5,750–6,751–5,752.
Lorsqu'ils eurent disposé de tous les côtés la garde de Bhishma, tous les héros, arrosés de sang, ensevelis dans leurs tristes pensées et tourmentés des plus cruelles angoisses, -retournèrent, au soir de ce jour, dans leurs quartiers, reprendre chacun son logement. Dès que les vaillants, Pândouides s'y furent installés, joyeux, triomphants de.la chûte de Bhîshma;,le vigoureux Mâdhava, s'étant approché, adressa ;ces paroles opportunes àToudhishthira, le filsd'Yama 5,753–5,754^5,755.
« Oh bonheur! tu triomphes' oh! bonheur! il est tombé, cet héroïque Bhîshnia, fidèle à la vérité,, qui avait lu tous les- Traités de morale (1) avec les Dieux et qui ne devait pas mourir sous un coup des hommes Mais, arrivé > sous tes yeux homicides,, il fut consumé de ton regard épouvantable. » 5,756^5,757.
(1] Texte de Bombay.