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Titre : Le Mahā-Bhārata : poème épique. Septième volume, [Bhīshma-Parva, suite] / de Krishna-Dwaipayana,... ; traduit du sanscrit en français par Hippolyte Fauche,..

Éditeur : F. Klincksieck (Paris)

Éditeur : A. Durand et Pedone-Lauriel (Londres)

Éditeur : Williams et Norgate

Date d'édition : 1867

Contributeur : Vyāsa. Auteur présumé du texte

Contributeur : Fauche, Hippolyte (1797-1869). Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34324135r

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12009426d

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35291344z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (VIII-590 p.) ; 25 cm

Format : Nombre total de vues : 603

Description : [Mahābhārata (français). 1863-]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1163458

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 4-Z-7506 (7)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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ces choses, le monarque ordonna de faire une armistice. 4,887-4,888–4,889.

Le roi Youdhishthira conclut donc une trêve pour ses troupes, et une suspension d'armes donna du repos à ses armées. 4,890.

Cette armistice étant réglée pour tous les guerriers, ces grands héros entrèrent dans leurs quartiers,' couverts de blessures reçues dans le combat. 4,801.

Pensant aux exploits de Bhîshma dans la guerre, les Pândouides, accablés de traits par ce vaillant capitaine, ne pouvaient goûter un moment de tranquillité. 4,892. Mais on applaudissait à Bhîshma, victorieux dans ce combat des Pândouides, accompagnés des Srindjayas, et ses bardes le célébraient, fils de Bhârata. 4,803.. Il habitait avec les Kourouides et ne voyait chez eux que des formes joyeuses de tous les côtés. Ensuite la nuit en s'épaississant plongea tous les êtres dans l'insensibilité. 4,894.

Dans cet horrible commencement de la nuit, les Pândouides et les superbes Srindjayas avec les Vrishnides s'assirent pour délibérer. 4,895.

Tous les guerriers à la grande puissance, habiles dans les résolutions et les conseils, délibérèrent sans trouble surce qu'ils avaient de mieux à faire dans la circonstance. Quand le roi Youdhishthira eut consulté long-temps, sire, il dit enfin ces paroles, les yeux tournés vers le Vasoudévide 4,896–4,897.

« Vois, Krishna, ce magnanime Bhîshma au courage terrible, qui broie mon armée comme un éléphant foule aux pieds une forêt de roseaux. 4,898.

» Nous ne pouvons fixer nos yeux sur ce magnanime,