debout sur leurs chars, aussi brillants que le soleil, et se frappent de coups mutuels dans le combat. 3,481. Dourmoukha, après qu'il eut blessé Çroutakannan de cinq dards, abattit d'une flèche son drapeau et frappa de sept traits son cocher. 3,482.
S'étant avancé, il perça de six dards ses chevaux, couverts de filets d'or et rapides comme le vent il fit encore tomber dans la mort son cocher. 3,483.
Restant sur son char sans chevaux, le héros Çroutakarman lui jeta avec colère une lance de fer, flamboyante à l'instar d'un grand météore igné. 3,4S/i.
Bien resplendissante, elle fendit la vaste cuirasse de l'illustre Dourmoukha, elle entrouvrit la terre et s'y plongea, enflammée. 3,/i85.
Dès que Soutasoma à la grande vigueur le vit là, sans char, il le fit monter sur le sien, à la vue de tous les guerriers. 3,486.
Le vaillant Çroutakirti s'avança contre Djayatséna, ton fils, sire, désirant immoler cet homme illustre dans le combat. 3,487.
ÇroutakîrLi coupa l'arc de ce magnanime à l'instant où il décochait et ton fils trancha également l'arc de son adversaire, 3,4 8S.
En riant, Bharatide, avec un kshourapra fort acéré. Aussitôt fjue Çatânika vit son frère avec un arc en morceaux, 3,489.
Le splendide héros s'approcha, poussant des cris itérativement, comme un lion. Il brandit, dans le combat, un arc solide. 3,490.
Il blessa rapidement de dix flèches Djayatséna et jeta