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Titre : Le Mahā-Bhārata : poème épique. Septième volume, [Bhīshma-Parva, suite] / de Krishna-Dwaipayana,... ; traduit du sanscrit en français par Hippolyte Fauche,..

Éditeur : F. Klincksieck (Paris)

Éditeur : A. Durand et Pedone-Lauriel (Londres)

Éditeur : Williams et Norgate

Date d'édition : 1867

Contributeur : Vyāsa. Auteur présumé du texte

Contributeur : Fauche, Hippolyte (1797-1869). Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34324135r

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12009426d

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35291344z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (VIII-590 p.) ; 25 cm

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Description : [Mahābhārata (français). 1863-]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1163458

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 4-Z-7506 (7)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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rents sois-en maintenant le témoin, ô le plus grand des rois! 2,504.

» Aujourd'hui, en dépit de leurs efforts, joints à ceux de leurs familles, je mettrai obstacle à tous les Pândouides, secondés de leurs guerriers » 2,505.

Aussitôt que ton fils, le souverain des hommes, eut reçu de Bhîshma ces paroles, plein de joie, il remplit de vent sa conque et fit battre les tambours. 2,506. Ensuite, ayant entendu ce grand bruit, les Pàndouides firent résonner les conques, sire, parler les tambours et les tambourins. 2,507.

« Quand Bhîshma, irrité principalement par ces paroles de mon fils, s'enquit Dhritarâshtra, lui eut promis ce terrible combat (1), 2,508.

» Que fit Bhîshma contre les fils de Pândou, ou que firent les Pântchâlains contre mon ayeul ? Conte-moi cela, Sandjaya. » 2,509.

Lorsque ce jour vit la plus grande portion de sa première partie écoulée, répondit Sandjaya, et que le soleil, entré dans la plage du couchant, s'y fut avancé quelque peu, Les magnanimes fils de Pândou ayant obtenu la victoire, Dévavrata, ton père, à qui la distinction entre tous les devoirs était bien connue, 2,510 2,511.

Et que tes fils protégeaient entièrement avec une nombreuse armée, s'avança vers l'armée des Pândouides avec ses rapides chevaux. 2,512.

Alors, suscité par ton infortune, eut lieu un combat de nous avec les Pândouides, bataille confuse, et qui fit se hérisser le poil d'épouvante. 2,513.

(1) Texte de Calcutta corrige par celui de Bombay.