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Titre : Le Mahā-Bhārata : poème épique. Septième volume, [Bhīshma-Parva, suite] / de Krishna-Dwaipayana,... ; traduit du sanscrit en français par Hippolyte Fauche,..

Éditeur : F. Klincksieck (Paris)

Éditeur : A. Durand et Pedone-Lauriel (Londres)

Éditeur : Williams et Norgate

Date d'édition : 1867

Contributeur : Vyāsa. Auteur présumé du texte

Contributeur : Fauche, Hippolyte (1797-1869). Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34324135r

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12009426d

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35291344z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (VIII-590 p.) ; 25 cm

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Description : [Mahābhārata (français). 1863-]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1163458

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 4-Z-7506 (7)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Le plus voisin de Nîla était ensuite le très-vaillant Dhrishtakétou, entouré des Tchédiens, du peuple de Kâçi, des Karoushas et des Paâuravains. 2,415.

Au milieu de ces divisions, se tenaient, prêts au combat, accompagnés d'une armée, Dhrishtadyoumna, Cikhandt et les fortunés Pântchâlains, 2,416.

Là, était Dharmaràdja lui-même, environné par une armée d'éléphants puis Sâtyaki, sire, et les cinq fils de Draâupadî, enfants des Pdndouides. 2,417.

Après, venait Abhinianyou ensuite, l'héroïque (1) Irâvat; joignant celui-ci était le fils de Bhîmaséna, que suivaient, sire, les grands héros Kaîkéyains. 2,418. Enfin, soutenant l'aile gauche, était le plus vertueux des hommes (2), le protecteur du monde entier, ce héros, sur qui Djanârddana étendait lui-même sa protection. Tel fut ce grand ordre de bataille, que les Pândouides avaient disposé à l'encontre de Bhîshma pour la destruction de tes fils et des hommes, qui avaient embrassé leur cause. 2,419–2,420.

Alors commença cette bataille des tiens et des ennemis, où les éléphans et les chars se touchaient l'un à l'autre (3), où l'on se donnait mutuellement la mort. 2,421. On voyait s'engager çà et là, monarque des hommes, les troupes d'éléphants et les foules de chars, qui s'eutregorgeaient les uns les autres. 2,422.

C'était, mêlé au son des tambours, le bruit confus d'une multitude de chars courants et d'hommes, qui se livraient mutuellement des combats singuliers. 2,423.

(1) Texte de Bombay.

(2) Littéralement, des bipèdes.

(3) Vyatishaktam, édition de Bombay.