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Titre : Le Mahā-Bhārata : poème épique. Septième volume, [Bhīshma-Parva, suite] / de Krishna-Dwaipayana,... ; traduit du sanscrit en français par Hippolyte Fauche,..

Éditeur : F. Klincksieck (Paris)

Éditeur : A. Durand et Pedone-Lauriel (Londres)

Éditeur : Williams et Norgate

Date d'édition : 1867

Contributeur : Vyāsa. Auteur présumé du texte

Contributeur : Fauche, Hippolyte (1797-1869). Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34324135r

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12009426d

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35291344z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (VIII-590 p.) ; 25 cm

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Description : [Mahābhārata (français). 1863-]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1163458

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 4-Z-7506 (7)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Vivinçati, Tchitraséna et le héros Vikarna, Pouroumitra, Djaya, Bhodja et le vigoureux fils de Somadatta 1,652-1,653.

Laissèrent échapper de leurs mains les grands arcs, de même que des nuées vomissent des éclairs, et prirent des flèches de fer, semblables à des serpents déchaînés. Les fils de Draâupadî, le héros né de Soubhadrâ, et Nakoula, Sahadéva, Dhrishtadyoumna le Prishatide S'avancèrent, accablant de traits aigus les enfants de Dhritarâshtra, comme les sommets des montagnes sont en but aux coups de la foudre rapide. 1,65/i-l, 655-1,656. Et parmi tant d'ennemis, il n'y eut personne, qui, dans ce premier combat, détourna la tête au bruit épouvantable, que faisait éclater la surface de la corde des arcs. 1,657. Je vis combien les disciples de Drona, sire; avaient la main prompte à décocher une multitude de flèches, qui transperçaient les drapeaux. 1,658.

Le bruit des arcs, qui murmurent en décochant la flèche, ne se calme pas; ils envoient des traits enflammés comme des étoiles filantes, qui glissent sur la surface du ciel. 1,659.

Tous les autres souverains de la terre, éminent Bharatide, ont vu, comme s'ils étaient assis au spectacle, cet admirable Bhîma s'avancer vers les ennemis, ses parents. Enflammés de colère, se portant des coups, qui attestaient leur cruauté, ces héros déployaient leur force, sire, avec un mutuel désir de l'emporter l'un sur l'autre. Remplies de chars, de coursiers et d'éléphans, les deux armées de Kourou et de Pândou brillaient au plus haut point sur le champ de bataille, comme des couleurs sur une étoffe peinte. 1,660–1,661–1,662.