Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 1 sur 4

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Le Charivari : publiant chaque jour un nouveau dessin

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1833-05-06

Contributeur : Philipon, Charles (1800-1862). Directeur de publication

Contributeur : Huart, Louis (1813-1865). Directeur de publication

Contributeur : Véron, Pierre (1831-1900). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34452332k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34452332k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 359

Description : 06 mai 1833

Description : 1833/05/06 (A2,N157).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1151686

Source : Bibliothèque nationale de France, département Fonds du service reproduction, 4-Lc2-1328

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/09/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 61%.


· ~tt~#i`~ ~illd. `

A MAINTENAIT tME TÈTE COURONNÉE.

1 \10 Commissaire t commissaire l

tjotiîk bat sa ménagère*

BÉUANGEB.

H cstposStbte Que la paÉt, Gepftm&f btësotit &&t peuples, s d'après le corps diplomatique f sait aussi le premier dt&ott* Ses rois mais on sait comment les rois iaferprêtenf leurs «tewHiïs.. ̃ Sur cette, terre la tranquillité devait ffctrir quelque «b«j c'était à jooap sirr dam le ménage du geààcê de -notre grand homme de paix* 11 est si ÊKSle â Vieux mari desîaecorder avec jeune femme! ̃

Mais il paraît que l'anarchie règueau palais royal' de Bruxelles. L'arnpar jaloux menafee de perdre la dynastie de Léopold, comme autrefois il a perdu Troie, Ce qu'il y a de pins singulier, c'est que la jalousie n'est pas née au cœur du Vieil époux* comme il arrive ordinairement dans les unions jual assorties. Le tort, ou du moins l'apparence du tort est, cette fois, du cété de la barbe. Voici comment t Lêopold a charmé la transition de son premier à son second mariage, par un plus ou moins grand nombre de petites intrigues. Jusque là rien que de fort naturel, et le cabinet des Tuileries, en acceptant poar gendre le cabinet belge, devait- savoir à quoi s'en tenir. Mai» ne wilà-Wl pas qu'âne des belles tadys, qui naguère consolaient Léopold des ennuis du Teuvage, s'est avisée on ne sait pourquoi, devenir habiter Bruxelles. Vous comprenez quels soupçons doit faire naître dSps Mme de lu jeune reine te rapprochement, qui peutêtre est tout-à-fait fortuit. Elle a, il est vrai, la garantie des seraier.s de son époux mais les rois font si peu de cas de, lewrssenneBS >Tt Aussi dit-^on que d'actives négociations sont entamées entre les deux cours. Espérons qu'elle» amèneront un raccommodement prochain dussions-nous en supporter les Jrais, c'est-à-dire, payer le million de dot. Nos improstitués sont trop partisans de la pain à tout prix, pour ne pas lui faire ce nouveau sacrifiée» ̃

11 y a deux mois à peine, une scène plus grave encore s'est passée dans le domicile du roi de Kaples: là, toutefois, ce n'était plus dans l'intimité du tête à tête, C'était en public, dans une soirée royale, semblable aux dernières soirées des Tuileries, plus les rafraicbisseniens. Le roi -voulait que la

reine prit place au piano la reine -s'excusa d'abord, pus céda à l'insistance de son époux. Mais, au moinent où elle se disposait à s'asseoir, celui-ci, qui me lait l'eftet d'être extrêmement facétieux, retira vivement la chaise et la reine tomba sur le parquet comme eàt, pu le faire une simple particulière, ce qui prêt» beaucoap à rire. Rouge de honte jet de colère, la jeuue femme dit an se relevant i « Jb «oyais avoir épousé un roi mais je m'aperçois que je n'ai épousé qu'un lazzarone. A quoi l'aaguste monarque répondit par un soufflet. Continuation la facétie. » Delà, vives réclamations de lacour rte Sartlaigne^ bellemère d#.la eoan de Hapkà, notes diplomaUques, è^J«ng€ es courriers, etc., etc. Le 9 août a transmis lui-même; à ce sujet, ses instructions à son ambassadeur. En matière de soufflets ieçtts le 9 aojat1 est coinpétehl. Espérons égalernent qu'eu cette rirconstance encore le gouvernement saura tenir le ïïtng qui lui appartient en Europe. 't~ ̃

r "'> r •̃̃ ,J. (0à nuualri~ ~~x pils 6M)<~ ~~a~~r~'n~~>'

COMBIEN VOUg VOIJS ÉTÉS AMUSÉS,

Il Ç#'(' "il'-

I.E GTOHIEtl-X JOUR DE 11 SJlIllI-niILIppE. M. Tamerla/t.SHence, Pitiijjoîse! et allez tenir ailleurs vos propos subversifs!».. Dieu! est-elle subversive, eetmâite'Jà! 1 ̃ Ftanf>ists.i Mais «"est qu'aussi Monsieur vojiâ quatre grands jottit^jeadi, vendredi samedi, dimanche, que VOUS ne faites que nous rabâcher la mcine chose j avec votre tète de Louis-Philippe, que votts dites qu'elle a été si belle! Ah ouitte je l'en ciaque, àm fêtes comme ça La fête des veaux de Pon toise est ben cent fois plus soignée! Enfin que c'en est embêtant de vous entendre toujours chanter menue chanson] à preuve que votre fils aîné n'a pas reparu à la maison depuis trois jours et trois nuits que voilà madame qu'en tombe de sommeil dans son fauteuil; que moi j'en ait-une migraine à n'y voir que du bleu et que vos pauvres petit» enfans sont là qu'ont l'air tout hébété» à force que vous voulez leur*'? feiëe aier vive le roi C'est pas vrai n'est-ce pas ? Mais tenez, puisque j'y pense Vlàz-un journal que 1* portière d'en-bàs Vient de me remettre pour vous '1 M, Tametlan, tjn journal quel est dont le journal qui se permet de s'adresser gratuitement à moi ?. "Vous sa- I, V