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Titre : Le Charivari : publiant chaque jour un nouveau dessin

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1833-02-17

Contributeur : Philipon, Charles (1800-1862). Directeur de publication

Contributeur : Huart, Louis (1813-1865). Directeur de publication

Contributeur : Véron, Pierre (1831-1900). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34452332k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34452332k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 17 février 1833

Description : 1833/02/17 (A2,N78).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k115089z

Source : Bibliothèque nationale de France, département Fonds du service reproduction, 4-Lc2-1328

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/09/2008

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m 9 m>WWvm>m'a"m'*r'm>&'im'}m'^ ^'m »»'»»»» nÉSUMÉ SUCCINCT

Des innombrables bienfaits que la Providence a versés sur nos campagnes depuis le règne-citoyen du presque-téméraire bouis-Philippe I", roides Français, membre de la Légion-d Honneur.

ïi" série.1831.juin.

'(Suite:) --` `

( Au milieu des événemens qni ont signalé le -commencement de ce mois, nous avons négligé la série des articles intitnlcs Résumé succinct, etc. Un grand nombre de nos abonnés nous ayant adressé des réclamations à ce sujet, nous continuerons à publier de loin en loin la suite de ces articles, afin que leur ensemble puisse offrir, dans un temps donné, le résumé complet de l'histoire du 7 août.)

Le conseil municipal de Bar-le-Duc ayant fait entendre au roi, à son passage à Terdun, quelques paroles sévères, il lui est répondu à peu près en ces ternies « Quant aux garanties que vous réclamez je crois qu'elles existent dans nos lois. Je ne suis i)enu que pour assurer le mninlien de nos institutions je ne connais pas d'autre garantie pour la liberté que nos institutions les moyens qui tendent à la poirsser a I/excès ne sont propres qu'à la détruire. » Réponse du roi au conseil municipal de Metz, dans laquelle on remarque la phrase suivante « Vous me parlez de ce que les conseils municipaux de France ont proclamé ils n'ont rien proclamé; il n'est point dans leurs attributions de lefaire, ni de prendre DES délibérations SUR DES sitjets DE haute IPOLITIQUE. » Le roi interrompt le discours du commandant de la garde nationale de Metz, en lui disant: « LA FORCE ARMÉE ne délibère PAS. Vous n'ètes plus l'organe de la garde nationale: je ne dois pas en entendre davantage. Il Les officiers de la garde nationale de Metz, convoqués par M. le maire, persistent, malgré l'improbation du roi, dans leur adresse, et déclarent qu'il n'y a pas lieu d'en présenter une Douvelle. L'anarchie relève une huitième fois la tète sur le boulevard St-Denis, à l'occasion d'une dispute entre un horloger et un eeîporteur. Elle est écrasée à jamais pour la huitième fois.- Condamnation du Courrier Français, pour avo.irrau dire de M. le président Naudin, rendu un compte iuexact des débats de l'affaire Malo. On refuse d'entendre les témoins qui viennent déclarer la vérité des faits rapportés par le Courrier Français. L'arrêt est rendu sans'la participation du jury.– Révolte des cochers de coucous sur la route de Ver-

'»* ̃<lfc-«C.-gt-<K-<K-«-«I-«i-«t"g-^ »̃'< »W sailles.-Le bruit se répand que le roi des Français fait passer d< s rondsà Philadelphie. Un député de Bade déclare en pleine séance, « qu'il ne faut pas que la France s'en fasse trop accroire, et que le duché de Bade suffirait seul pour laréprrnier. » Continuation des troubles du boulevard Saint-Denis charges exécutées sans sonuirations meurtres commis sur diflerens points. Réponse du roi au maire de Nancy, laquelle contient le passage suivant J'ai toujours été df̃» voué au maintien de nos institutions quand elles ont été » violées j'ai cru que mon pays avait J'esoin de moi; ét fidèle à sa voix, je suis accourç pour l'empêcher de de»» venir la proie de F anarchie. » On lit dans la réponse du roi au conseil municipal de Nancy « Lorsqu'un gouvernement s'aperçoit qu'il ne peut plus agir conformément auf intérêts, à la gloire et AUX LIBERTÉS de la nation, il devhmt abdiquer DE lui-même. Troubles graves à Montauban, au sujet d'une procession. Le duc de Wellington va pré*senter au roi d'Angleterre le dr-api'ïiu tricolore qu'il lui ottre chaque année à l'anniversaire de Waterloo. Mort de Dié/bitsch. -Le JWcwH/eurinsmTiepour la première fois l'alliance républico-carliste. Troubles à Sens, Mazères et ClermontFerrand.

G.

CotwfrstNr

D'UN TROISIÈME TAMERLAUJ.

Quand nous serons à dix nous fercns une croix.

Bossuet.

bien hé bien qu'avez-voris donc, mon vénérable Tamerlan? votre figure a l'air d'un cône renversé. comme au 6 juin dernier. jusqu'à la prise de la dernière barricade moment où vous sortites courageusement de chez vous, orné de votre gisquet, et de cet air radieux et crâne que vous aviez toujours conservé depuis. Est-ce que les rentes auraient baissé ? te colza coulé ? Louis-Philippe été réassassiné? que sais-je ? :0. toutes circonstances qui, en effet, sont bien propres à renverser une figure de bon et loyaL patriote fjDu tout! du tout Je suis légèieqient ému voilà t£twfj 1 et il me semble qu'on peut bien l'être quand, pour la qjHP: trième fois depuis le 7 août, on reçoit le conmiandeuieMp d'une nouvelle augmentation de portes et feucUes! f X^