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Titre : Le Charivari : publiant chaque jour un nouveau dessin

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1833-02-14

Contributeur : Philipon, Charles (1800-1862). Directeur de publication

Contributeur : Huart, Louis (1813-1865). Directeur de publication

Contributeur : Véron, Pierre (1831-1900). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34452332k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34452332k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 359

Description : 14 février 1833

Description : 1833/02/14 (A2,N75).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k115086t

Source : Bibliothèque nationale de France, département Fonds du service reproduction, 4-Lc2-1328

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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ItTTTÉRATTf'RHh

£e £wtt km €mi-à-Wix> V)

Ou a dit que ce livre était une grande œuvre lés lias l'ont appelé monument, les antres patais, les autres pyramide, les autres géant, colosses tes auties, changeant de métaphores, l'Ont baptisé tournois, jôûte» mêlée, julienne, pot-pourri. De ce livre sont nés leSalmigondi, les Contes, brun?, les Contes bt ust et mille plum-pudding littéraires, dont le nieuteur est Sânâ contredit le Èivre des ConteUrt* Enfin l'éditeur lui-même a fini par s'intiter lui-même et il nous annonce les Cent-eltttie Notfréïks «e««*i^fe« par les auteurs des Cent^et^lbi. Comme on te voit) grâce lui, la littérature tombe dauslilliputien. Eli attendant ce ̃ gui est à paraître» examinons on peu m qui a paru. Voyous si la dixième livraison est digne de ses aînées. ïfous gn doutons., M». Dupai itîtiê çtwre la dixième série des notabilités poll*- tiques et littéraires. M. Dupin aîné a un nom fameux, et il s'est fait cette fois l'historien de ta révolution de juillet 193», dans laquelle ses souliers ont joué un si grand rôle. ` Après la prose du président de la chambre des députes, iiï. de Penget^ille 4e l'académie française, dans une êpùfe au roi de lïtnnbiv, exprime poétiquement ses ardentes sympathies pour la république. La liberté est capable d'inspirer même des académiciens. 1

81. Jlmédêe Kërmet a donné un chapitre qui vaut mieux qu'un grand nomj il a observé ingénieusement les mœurt diverses des pansages de Paris. M. X>ujhni> écrivain spirituel et modeste, tait verser des iarmes sur le sort des jeunes ttveUfiest M. Pum.er.mn, un des grelots de Momus, non» pli à sa tnant&M le e des méd~rïlle~, célè comme votis savez, par ses conservateursx M. Rey-Busseull, qui a fait ses preuves de patriotisme et de talent, a peint1 un tableau de maeurs fort piquant, dans un chapitre intitulé le au bah M. Jacques jirago, qui a un nom lourd à porter, a soutenu sa réputation d'homme de talent, par une esquisse spirituelle des chevaliers d'industrie. M. (Jnésiitre Leroy vous révèle le boudoir de Mlle Mars. t

Suivent M. d'ffervilfy; qui se recommande au lecteur par LL.

(t) Dixième livraison. Paris, Ladvocat, rue deChabannais, n-2.

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des réflexions philosophiques sur la fauMte^ fuis M. Arnold aC Dacosta, qui vous ftei» visiter la Pte«e-R«yaie, ce séjotar pai- Sible dont le siten«e a été troublé naguère par HoVation Utté- raire Victor Hugo; puis M. Hennequin, qui vous mènera tf»e* le commissaire de police, si vous voulez*.

Les femmes ont aussi leur place dans ce volume. Madame Desbotdes-VaMaitç nous fâit part de ses smiVeniï^ïtifJt! couvent des- Céf uetn.es à à Paris.. Mlle Colle a l'ait une élégie qu'on a recueillie comme son dernier soupir. Jeune lyre, qui rendit un beau son en sebi* sant! Pauvre jeune fille» «KMtê, et laissant des vers qui itoêritent de, vivre, quoiqu'elle ait reçu une lettre d'admiration de M. Delavigtie, l'inventeur de la /*ar*srên»eu

Eulin, M. Alexandre Delaborda a pyc son tribut au livre des &ettt-et>-Un, par ta Glirffniqne 4e rH&tel-di&Fïtk, ou PàHs municipe et M, Félix P$a% en quelques pa^es, a- raconté rapidement ^histoire du Théâtre -Français. Cette fois, le spirituel auteur A'iïne Révolution "d^milt^/bi^ à laissé dormir sa vive et poignante causticité, pour plaider généreusement ta cause du théâtre national. Ce chapitre, riche de faits tirés des registres mêmes de la Comédie-Française rempli d'anecdotes piquantes,' et remarquable par le nerf d'exprès-'mon et l'originalité de la pensée, est heureusement placé le dernier, comme pour faire oublier la faiblesse de certaines parties de ce volume le plus faible sana contredit des dia qui ont paru. p– «MMMM- £̃

Conpf rsion î>'un scconl» tamfrlan,

on k> • i VOILA QUI EST CliniEUX!

Ah! ça; voisin, que diable êtes-vous donc devenu cette dernière nuit, que vous, n'êtes rentré qu'à sept heures du matin, quand tout Icinonde sortait? J'ai craint un moment qu'on ne vous eût einpoigué, emprisonué.

– Et piqué plus ou moins profondément, n'est-ce pas?. Rassurcï-vous. J'ai passé fort agréablement la nuit. ~-Oùeela?

Dana une société de républicains.

Ah! grand Dieu! quelque nouvelle horreur sans doute quelque clnb! quelque convention an petit pied! quelque noir souterrain. vous aurez passé le temps & hurler, à pousser des vociférations contre l'ordre de choses. à fomenter quelque nouvelle machination, à ourdir quel-