talité s'acharnait contre lui, dans les plus simples choses. Les éléments, incléments, se liguaient froid, brouillard, pluie; et, si le soleil tant désiré se montrait parfois, trop chaud d'une maladive chaleur, c'était pour attirer vers une promenade au cours de laquelle survenait une ondée.'
« En cette triste année 1891, les blés avaient été gelés. Le 10 août, après une épouvantable nuit d'orage et de grêle, un givre dépouilla les arbres; les moissons, par suite des pluies estivales, étaient en partie pourries dans les champs. Arthur, grand amateur de chaleur, de soleil et d'air, souffrit beaucoup de ces troubles atmosphériques.
« Le premier jour, à son entrée en sa chambre, la plus belle de la maison préparée avec un soin naïf, il avait eu cette exclamation charmamment flatteuse: « C'est Versailles ici! » Tout de suite, là, ses malles avaient été défaites, ses bibelots disposés; ses besoins d'infirme et ses désirs de voyageur las avaient été prévus. « Il essaya de se mettre à l'aise, de s'acclimater.
« L'insomnie des premières nuits, la fièvre et les souffrances corporelles furent attribuées