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Titre : Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. XV. Duh-Dyé. - 1917 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange]
Auteur : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923). Auteur du texte
Éditeur : impr. de C. Hérissey (Évreux)
Date d'édition : 1903-1929
Sujet : Noms de personnes -- France
Sujet : Élite (sciences sociales) -- France -- 19e siècle
Sujet : Généalogie -- France
Sujet : France
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34209118s
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 20 vol. ; in-8
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Description : Dictionnaires biographiques
Description : Dictionnaires
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1120080
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LM1-164 (15)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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taire du Roi, demeurant à la Rochefoucauld. Celle-ci était veuve quand elle fut maintenue dans sa noblesse avec ses enfants le 22 juin 1699, sur preuves remontant à 1481, par jugement de Bégon, intendant de la Rochelle. Elle eut plusieurs fils qui partagèrent la succession de leurs parents par acte du 28 janvier 1711. L'aîné de ces fils, Jean du Pont, Sgr du Vivier, marié en 1706 à Anne du Chazeau, fut père de François du Pont du Vivier de Vannes, né en 1713, lieutenant des troupes détacliées de la marine en garnison à Louisbourg, dans l'île Royale, mar. en|17So à Anne-Madeleine Laffite, dont une fille, Marguerite, i. ̃ I'aillebourg en 1763, fut admise à Saint-Cyren 1774. Ln autre, François du Pont, Sgr du Vivier, capitaine d'une compagnie en garnison à Port -Royal, dans la Nouvelle-France, fut père de MarieAnne du Pont du Vivier, née à Sérignac en 1713, admise à SaintCyr en 1723. Un troisième frère, Pierre du Pont, Sgr du Vivier et de Mézillac, marié à Françoise Grimouard, eut deux fils, nés àSérignac en 1727 et 1736. Un quatrième frère, enfin, Louis du Pont, Sgr du Chambon, était lieutenant de compagnie de la garnison de Port-Royal, en Acadie, quand il épousa, le 11 février 1709, Jeanne Mius d'EntremontPobomkon. Il fut père de François du Pont du Chambon, né à Sérignac en 1710, capitaine dans le régiment de la marine, qui épousa à Louisbourg en 1750 sa parente, Marie-Josèphe d'Entremont, veuve du sieur de Couagne, et grand-père de Jean-François du Pont du Chambon, né en 1733 à Louisbourg, dans l'île Royale, qui fit en 1764 des preuves de noblesse pour être admis à l'Ecole mililaire. Charles-François, marquis du Pont du Chambon, né à Louisbourg en 1734, marié en 1764 à Marguerite- Joseph e Rodrigue, et son neveu, Joseph du Pont du Chambon, né à Québec en 1788, admis à l'Ecole militaire en 1772, prirent part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Saintes.
La famille du'Pont du Chambon a fourni des officiers, dont l'un périt à Quiberon, en 1795, des chevaliers de Saint-Louis, etc. Son chef est connu depuis le xvme siècle sous le titre de marquis. Principales alliances: de l'Age de Volude 1875, de Grimouard, de Brémond, deBeaumont-Beynac 1893, de Coux 1739, d'Escravayat, etc. La famille du Pont du Chambon ne doit pas être confondue avec une famille Dupont de Gault qui appartenait au xvm* siècle à la noblesse de l'Aunis. Il sera parlé de cette famille dans la notice consacrée à une famille Saussine qui a demandé en 1884 l'autorisation d'en relever régulièrement le nom.
DUPONT, ou du PONT, de LIGONNÉS. Armes de gueules à un heaume d'or accompagné de trois étoiles d'argent. La branche aînée,