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Titre : Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. X. Cha-Chu. - 1911 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange]
Auteur : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923). Auteur du texte
Éditeur : impr. de C. Hérissey (Évreux)
Date d'édition : 1903-1929
Sujet : Noms de personnes -- France
Sujet : Élite (sciences sociales) -- France -- 19e siècle
Sujet : Généalogie -- France
Sujet : France
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34209118s
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 20 vol. ; in-8
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Description : Dictionnaires biographiques
Description : Dictionnaires
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1120033
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LM1-164 (10)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2008
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grand-père de Charles de Chardon des Roys, qui épousa au Puy le 22 juin 1763 Marguerite Alirol, et bisaïeul de Jean-François-Damase de Chardon des Roys, né au Puy le 11 décembre 1771, qui épousa en 1805 M"" Montagne. Ce dernier laissa deux filles, qui épousèrent successivement M. Jules de la Bâtie, et trois fils qui furent les derniers représentants de leur famille et qui moururent sans postérité. Le chevalier de Chardon prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues au Puy-en-Velay.
La famille de Chardon des Roys n'était pas titrée.
Elle a fourni des officiers, un lieutenant des maréchaux de France au Puy, des magistrats, etc.
Principales alliances de Clialencon de Rochebaron 1615, Ligier (de la Prade) 1703, Brun de Lantenas, de la Batie, Calemard de la Fayette, de Morel de la Colombe 1800, de Frétât, de Laire 1720, etc. CHARDONNAY (de). Armes de gueules à un lion d'argent langue d'or (aliàs de sable).
La famille DE Chahdonnay, vraisemblablement éteinte au cours du xix° siècle, appartenait à l'ancienne noblesse du comté de Montfortl'Amaury d'où elle vint au xvne siècle se fixer à Machecoul, en Bretagne. On en trouvera une généalogie détaillée dans les manuscrits de Chérin. On trouvera aussi dans le Aouveau d'Hozier les preuves de noblesse que deux de ses membres firent, en 1762 et en 1775, pour être admis parmi les pages du Roi. Une tradition, qui ne s'appuie sur aucune preuve, lui attribue une origine commune avec celle des anciens sires de Montfort.
L'arrêt de maintenue de noblesse de 1668 mentionne un Thomas de Chardonnet, écuyer, possessionné au Lieutel, qui passa en octobre 1279 un acte devant le tabellion de Montfort. Guillaume de Chardonnay, écuyer, et son fils Jean étaient possessionnés au même lieu en 1317 et 1318. On trouve ensuite Philippe et Robinet de Chardonnay, écuyers, frères, qui passèrent le 22 mai 1378 un acte devant Duault, tabellion à Montfort. Robinet de Chardonné fit une acquisition par acte passé le dernier septembre 1381 devant Loys Chéron, tabellion de la chàtellenie d'Épernon. On lui attribue pour fils, mais sans preuves certaines, un Jehan de Chardonnay, dit Chardin, écuyer d'honneur de Louis, duc d'Orléans, fils du Roi, qui obtint des lettres de ce prince le 27 septembre 1403. Ce même gentilhomme est appelé noble homme Jehan de Chardonnay, l'aîné, demeurant au Tremblay, dans un contrat de vente passé le dimanche de Quasimodo 1457 sous le sceau de la ville et chàtellenie de Montfortl' Amaury. Il avait épousé Jeanne de Flacourt, rappelée comme défunte