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Titre : Ainsi parlait Zarathoustra : un livre pour tout le monde et personne / Frédéric Nietzsche ; traduit par Henri Albert

Auteur : Nietzsche, Friedrich (1844-1900). Auteur du texte

Éditeur : Société du "Mercure de France" (Paris)

Date d'édition : 1898

Contributeur : Albert, Henri (1868-1921). Traducteur

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11966222d

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb310183563

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (473 p.) : portrait ; in-8

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Description : [Also sprach Zarathustra (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1118790

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-R-15687

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Toutes mes larmes prennent

vers toi leur cours

Et la dernière flamme de mon coeur s'éveille pour toi!

0, reviens,

Mon dieu inconnu ma doulezcr

mon dernier bonheur!

2.

Mais en cet endroit Zarathoustra ne put se contenir plus longtemps, il prit sa canne et frappa de toutes ses forces sur celui qui se lamentait. «Arrête-toi! lui cria-t-il, avec un rire courroucé, arrête-toi, histrion! Faux-monnayeur Menteur enraciné! Je te reconnais bien! Je veux te mettre le feu aux jambes, sinistre enchanteur,. je sais trop bien en faire cuire à ceux de ton espèce »

«Cesse, dit le vieillard en se levant d'un bond, ne me frappe plus; ô Zarathoustra! Tout cela n'a été qu'un jeu!

Ces choses-là font partie de mon art; j'ai voulu te mettre toi-même à l'épreuve, lorsque je t'ai donné cette preuve Et, en vérité, tu as bien pénétré mes pensées Mais, toi aussi ce n'est pas une petite preuve que tu m'as donnée de toi-même. Tu es dur, sage Zar athoustra Tu frappes durement avec tes «vérités», ton bâton noueux me force à confesser cette vérité

« Ne me flatte point, répondit Zarathoustra, toujours irrité et le visage sombre, histrion dans l'âme Tu es faux pourquoi parles-tu de vérité?