Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 33 à 33 sur 416

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Le pèlerinage Jhésu Crist / de Guillaume de Deguileville ; Edited by J. J. Stürzinger,...

Auteur : Guillaume de Digulleville (1295?-1380?). Auteur du texte

Éditeur : Nichols and sons (London)

Date d'édition : 1897

Contributeur : Stürzinger, Johann Jakob. Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30557556z

Type : monographie imprimée

Langue : français ancien

Format : 1 vol. (VI-372 p.) : pl. en coul., fac-similés ; in-4

Format : Nombre total de vues : 416

Description : Collection : [Production du] Roxburghe Club ; 1897

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k111234v

Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES M-YE-19

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 95%.


Miséri-

cordc a

Justice.

Laissas pour quoi avis m'est bien

Que le signe faillir en rien

Ne doit, et quë Adam sauvé, 515 Comment que soit, et rachaté

Doit estre, et le dëust sauver

Le roy mesme et li rachater

Selon qu'a dit Sapience

Quar comment pourroit estre ce 520 Que pais et federation

Mise fust entre Dieu et hom,

Së Adam n'estoit rachate

Et de sa chartre hors gete ?

Et le signe faus dit seroit, 525 Et couvenant pas ne tendroit

Dieu, qui n'est pas chose afferant

En li en rien n'apartenant

Si que, S. Esprit, a ce ci

Vueilles regarder, je te pri." 530 Apres avint que se leva

Et Justice ainsi arrena

Justice, compaingne chiere,

Se tu te moustroies fiere

En maintenant touz jourz rigueur 535 Sanz avoir devers moi faveur,

Si ne croi je pas que li roys s

Ait fait quelque[s] nouvelles loys

Par quoi ne tiegne touz ses dis

Et face quanqu'il a pramis. 540 Tu sces que, quant jadis ot fait

Homme de quoi nous tenons plait

Et vit quë a pechie se mist,

Un grant mot et notable dist

Pour quoy certes a. Si me semble et est aduis bien C- Si semble et aduis b. P

falir G

Point ne d. et que dam s.

Conuient q. quil s. P, q. ce (il a) s. r. AHa

Si do. deubt s. ir

me(i)smes et r. GAaPlITC2P

S. le d. de s. S. que d. A S. ce que d. pip

Et estre en ce 0

entre] en 9, lhom

Le dist si. C2P

conuenans a conuenant C2

Na 1. en r. ap. En r. nen 1. ap. A, 1. nen (ne a) r. ap. aPIHP r. ap. G

Par quoy s. e. W, s. espris e sains esperis aH, esp. entens cy C-P

Et y r-de je ten p. CSP, ten ^AaP1ITP

quil G, A. elle se releua JJJ

Et ainsi j. ar. GAaPxHC2, Et a j. ainsi parla compaignie H, Et (Si C-) lui dist ma c. ch. PC= Se te m. ainsi f. tyaP1!?, monstres en ce f. A, Justice se te m-roys f. C~P

En (AP) m-tenir AaPIHC2P

S. aucun d. H, de m. G, S. tenir enuers m. 5J5 croi] di aH, ne te dy p. P 1, Mal feroyes bien scay q. (-que C2) PC2, le roy Il

Na C2P, quelques 0] nulles irGAaP^IfC-P, nulle no-le loy 5p

Que il ne aPlITC2P, ne] ie G, -touz a faire a

gros m. H