sensible et dans le vrai sens où il est vu, c7est-à-dire redressé; il faut, pour cela, employer des prismes d'une grande pureté et dont le prix est assez élevé. Nous avons vu employer avec succès le prisme, à Paris, dans les ateliers de cartographie du ministère de ,la guerre, ainsi que par M. Thiel aîné, et chez MM. Lcmercier etC'vIly a alors, comme dans tous les cas où la lumière est arrêtée dans son trajet, ralentissement dans son,actionet pose plus longue. La surface collodionnée, quand on renverse le négatif à l'aide du prisme, doit être posée comme d'habitude. L'objet, en ce cas, est placé, non pas en face de l'objectif, mais sur le côté de l'angle droit dont le sommet serait à la place normale.
M. Derogy a eu l'idée de placer le prisme à l'intérieur de la monture, entre les deux verres de l'objectif sy métrique. Dans ce cas, le prisme peut être plus petit et d'une dimension en rapport avec celle du diaphragme, et nullement avec celle dg diamètre extérieur des lentilles. Il en résulte un coût bien moindre pour cet auxiliaire, et une plus grande facilité d'obtenir une matière douée d'une pureté plus parfaite.
Un deuxième moyen, indiqué récemment par M. Pereira Guimarez, de Lisbonne, mais employé bien avant lui, consiste dans l'emploi d'un miroir posé dans la chambre noire à la partie opposée à l'objectif de façon à former un angle de 45 degrés avec son axe. La glace dépolie est à la partie supé-