un découpage et un montage tandis que les épreuves phototypiques seront tirées immédiatement sur tel papier ou telle carte que l'on voudra et avec telle marge que l'on pourra désirer.
Un cliché exposé à la lumière, pour les divers tirages que nous avons cités, donne en moyenne de 6 à 8 épreuves dans la journée, épreuves qu'il faudra encore manipuler, laver, virer, développer, fixer, reporter, couper, coller, etc., tandis qu'une seule exposition à la lumière sur une plaque préparée tout aussi facilement, à peu de chose près, que tel ou tel papier sensible, suffira pour que l'on tire le jour même ou le lendemain, ou quand on le pourra, 12, 24, 50, 100 épreuves dans un temps qui variera de une à cinq heures suivant le nombre. Il suffit évidemment d'une heure pour imprimer de 12 à 15 épreuves, y compris la mise en train de la plaque d'impression.
Les épreuves ainsi obtenues auront le ton que l'on préférera, sans que l'on soit à la merci d'un tirage difficile, inconstant et fournissant une coloration que l'on ne peut modifier que dans des 'limites peu étendues. Elles seront indélébiles leur aspect ssï-a d&ijius aTtistiqaes^Srée^directemeiït- n'auront plus à subir aucune manipulation. Un cliché étant remis aujourd'hui, on _.peut1 dès demain matin, tirèr et livre!100 épreuves à midi. Le .co'it de l'opération, compare â celui des autres