et Bouquet, admet une infinité d'intégrales holomorphes, s'annulant avec
Donc est fonction hotomorphe de p. c. Q. r. t). Passons maintenant au cas générât.
11 importe d'abord de rappeler ct de pnciset le sens de ta notation déjà employée plus haut. Quand j'écrirai dans ce qui va sun re
/(~)-~(3.M).
je regarderai ics deux fonctions/ et comme développées suivant tes puissances croissantes de ?. Les coefficients des deux dévetoppements seront des fonctions de M (pte je re~rderai motncntanemetit comme une constante et (jneje supposerai reeHe et comprise entre/ero et 2". J/inegahté signinera alors que, pour toutes !es vateurs reeHes de comprises entre zéro et 27?,toustescoefncionsdu développement de o sont positifs et plus grands en va!em' absome (jue les coefucients (orrespondunts du deve!op])ement de
Soient t
tiens trigonomctriqucs de M. Supposons que toutes ces fonctions tri~ouomctriqucs restent constamment infcricures en vnifur absolue :) une ecrtamc (ptantité positive I. Il viendra
La fonction
qui ne dépend que de est deveioppahh
suivant les puissances de pourvu que p soit suffisamment petit. Il en résulte qu it ex~te une s<rie F, or(tonn''c suivant les puiss:mces ( roissantes de p et de convergente pour toutes tes valeurs reettes de M comprises entre zéro et 271. pourvu que p soit sufnsanunfnt petit, et satisfaisant a régalitc