les ornemens, qu'à notre retour nous avons trouvé établie à Paris, fous le nom de g<~ Grec., elt précifément au ton qui régne dans tous les défaits de l'Archite<3:ure Florentine le paf.fage des Parifiens du goût pour le <:h~nMMrnc~ à ce ton mâle & jfëvère, peut s'expliquer par le paffage fubit des très-grands chapeaux aux trèspetits. Or ces variations périodiques du blanc au noir, font inçonnues à JFlprence,
La Peinture y eft foumife à !a m&me (evérité, quant à la manière d.e tnanierle crayon & le pinceau, mais fans exclure la gaieté nationale que
IesPeintresFIorentinsontrépandue
dans leurs comportions même fur les lujets pieux. C'efi principalement dans les peintures dont tous les cloîtres font ornés, que les Artistes FIo*rentins fe {ont permis les plus grandes libertés. Ces tableaux qui n'ofjfrent à un Etranger non in~ruic, que des hi~oires éditantes pfé&ntent au Florentin éclairé par la Tradition la chronique fcandaieufe du Couvent, fous l'époque où le Pein-