Fhôtel le Pelletier, vieille rue du Temple, & aux portes du vieil hôtel 1 des Urïins ils datent du temps où les premiers Officiers du Parlement n'avoient qu'une Mule pour toute voiture*.
La partie de la'voie Appienne que je parcourus à pied, offre, de droite & de gauche, une continuité de ruines de Palais, de Temples, d'aqueducs, de tombeaux. Au milieu de ces ruines, je penfois quel grand quel magnifique ibedaclc devoit offrir J'Italie aux Curieux qui, du fond de nos pays Septentrionaux, venoient la vifiter dans tout le temps du haut Empire. Parmi ces débris, j'apperçus à la droite du chemin, fous un tas de.brouuailles~ un maulf qui me paruc plus entier que tout ce. que j'avais encore vu dans cette courte. Il rie prë&ntoic au chemin qu'un mm nud. L'ayant
Selon (!ei' Antique de Duchë&e, P.t-' ris (jttap. to. on fû~o/< <t/t <~ .~r. nM~ y~- ~j- J~~M J caï ft<M<'M .D<<«;. &' ~t dÏ/O/Mt ~«/'J Hc«/ 6*~f)y<J'a:M~