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notant là, ni les hommes ni les AiM dureftederitalie.
Le Peuple ds la Campagne :& do la Ville cit compofd d'hommes vi"goureux, rebutes, nerveux, bien mufclés, pleins de feu & de gaieté t agiles adifs, extrêmement laborieux, taillés en un mot pour la guerre, & ne retfemblant ~e par la fobriété auxlralïens que nous avions vus depuis Turin.
Cette race d'hommes {e&tt gloire de defcendre des Grecs, & de leur reffembler. Ils ont la poitrine large & avancée, les épaules bien effacées & rabattues fur t'emmatichement y le col court & fre~-gros, de rembonpoint, un fond de belle eama~tion, l'oeil beau & extrêmement vif. Ceux qui connoin~nt mieux que moi la Grèce foit antique, foit moderne prononceront, d'après ceci fur la reffemblance des Napo< litains avec les Grecs anciens ou aduels. I~facon de f&vêtu: leur ~bur. nira encore un point de comparaifon. Les Napolitains ont le col, les épaules, la poitrine & les bras prefjûue nuds, tandis que les Italiens &
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