tés, :mx angles du Palais ducaL le .y~~< ~A' ~/OMO~, la //<c </<? A"o~. le /~c/'e o/y//«V; la charmante porte de la Carta est de B.Brux: A~Kio Rtzxoiit 1\4~ <?/ a in teneur de cette porte et des bustes au musée Correr. Puis les LoMHARDi, Pietro, Antonio et TuIIio et ALEssA~DRo Ï~EOPARDi enjambent le XYt" siècle, JACOPO SAXsovtxo, florentin. GtROLAMO CAMpA<;xA, dans la seconde moitié du même siècle, marquent la fin de la statuaire a Venise. On verra, pour les premiers maîtres, le naturalisme et le sentiment plastique qu'ils révèlent, la franchise et la spontanéité de leur art pour les derniers, la façon libre et personnelle dont ils usent de l'antique, la santé relative qu'ils conservent, alors que l'art italien s'en allait lamentable et vieillot. Il faut courir les cotises, surtout les Frari et Saint-Jean et SaintPaul. II y a une foule de choses intéressantes et belles que l'on ne connaît pas assez, éclipsées qu'elles sont par la peinture vénitienne. Le Baedekcr en mains, on cherchera ces œuvres si diverses et l'on sera vite payé de ses peines. Enfin, près de Saint-Pierre et de Saint-Paul, se dresse le plus certain des chefs-d'œuvre du xv" siècle Horentin, le T~y/o/o/M/M~o C<o/</ sur son cheval de guerre, d'Andréa Verrocchio. Jamais plus ferme silhouette de cavalier ne se dessina sur le ciel.