régulières et monotones s'élèvent. Pour la richesse fouiltee d'une bibliothèque que de formules insi~ninantcs et creuses, que d'émises baroques et vilaines 1 Ma!s Venise intervient ici. Parla magie de son ciel et de ses eaux changeantes comme le cicl lui-même. elle anime ces vaines rhétoriques et, par quelques touches de couleur, par l'enveloppe de son atmosphère baiguec (le vapeurs, elle donne du charme et de l'intérêt aux plus médiocres architectures.
Je n'enumererai pas. Je signale seulement les u'uvrcs de Palladio. le Redcntore, S. Giorgio Manière. S. Franccsco della Vigna, l'église du couvent delle Zitellc. un des côtes de la cour de l'Académie, cher à Gœtbe. Palladio fut, malgré l'ordrc colossal, un des meilleurs maîtres de la Henaissancc au milieu des baroques de son temps, il se dresse presque classique.
SCLLPTCRH
L'époque gothique fut riche et se prolongea dans le xv" siècle. De la fin du x[\ siècle, on verra les statues à la clôture du chœur de SaintMarc, le tombeau du do~c Venier à Saint-Jean et Saint-Paul. dans cette noble église où tant (t'i!lustrcs Vénitiens reposent. aux Frari, des Heures dans la chapelle baptismale, le tombeau de S. Dandolo; ces œuvres sont des jM\ssÈ<.KE. Dans la première moitié du xv' sièclc,furentscutp-