A noter encore deux tombeaux de bronze des Pollajuolo. qui font apprécier dans leur richesse la sûreté d'un goût qui ne devait point survivre a ces générations; un maigre ~lino da Fiesolc. Mais comment dire le reste, depuis la porte centrale de Filaretc, où l'on peut admirer, a l'entrée de la basilique vaticane, (le la mère des enlises chrétiennes, siège du chef de la foi successeur de Pierre, dans les encadrements des polissonneries empruntées aux mythes antiques, chose stupéfiante que d'offrir aux tideles venus <x</ le spectacle préalable d'un <~yyM<~ enlevé par l'aigle, d'une /~Ax en proie au cygne. d' suspendue au taureau, tout un recueil de sujets choisis pour illustrer de scènes excitantes, la bestialité jusqu'à, dans l'abside, l'inouïe chaire de Saint-Pierre, de Bernin, que portent les Pères de l'Eglise, semblables à d'avinés portefaix'. Ce même BEt~t~ (1~9-1~80), violent bourreau (le marbre, a rempli la basilique de tombeaux et de monuments abominables. Ce sont un .~7/M/ Z/~y/ le tombeau de la comtesse Mathilde que n a-t-on laissé la paix à ses cendres, qui reposaient depuis cinq siècles à Mantoue! celui d'Urbain VH1, le baldaquin colossal et torse sous lit coupole, puis. au-dessus d'une porte. l'horreur inédite du monument d'Alexandre VII. un squelette en bronxe dore. supportant un lourd rideau de marbre jaune et brun. On ne peut se faire une Idée de la démence dont